Le conseiller titulaire Aksenty Ivanovich Poprishchin, âgé de quarante-deux ans, conserve son journal pendant plus de quatre mois.
Par un jour de pluie, le mardi 3 octobre 1833, Poprishchin dans son pardessus à l'ancienne part, en retard, pour un service mal aimé dans l'un des départements du département de Saint-Pétersbourg dans l'espoir d'obtenir peut-être un peu d'argent du trésorier à l'avance. En chemin, elle aperçoit une voiture qui s'approche du magasin, d'où expire la charmante fille du directeur du département où il sert. Le héros écoute par inadvertance une conversation entre sa fille Medzhi et son chien Fidelka, qui appartient à deux femmes de passage. Surpris par ce fait, Poprishchin, au lieu de servir, va chercher les dames et découvre qu’elles vivent au cinquième étage de la maison de Zverkov, qui est près du pont de Kokushkin.
Le lendemain, Poprishchin, fixant des plumes dans le bureau du réalisateur, rencontre accidentellement sa fille, dont elle est de plus en plus fascinée. Il lui tend même un mouchoir tombé au sol. En un mois, son comportement indiscret et ses rêves concernant ce jeune deviennent visibles pour les autres. Le chef du département le réprimande même. Néanmoins, Poprishchin pénètre secrètement dans la maison de Son Excellence et, souhaitant découvrir quelque chose sur la jeune femme, entre en conversation avec le chien de Medzhi. Ce dernier échappe à la conversation. Puis Poprishchin se rend chez Zverkov, monte au sixième étage (erreur de Gogol!), Où le chien de Fidelka vit avec ses maîtresses, et vole une pile de petits morceaux de papier de son coin. Cela se révèle, comme l'a suggéré Poprishchin, la correspondance de deux copines, un chien, dont il apprend beaucoup de choses importantes: récompenser le directeur du département avec la prochaine commande, courtiser sa fille, qui se révèle être Sophie, une certaine camelote Teplov et même sur lui-même, un monstre complet comme une «tortue dans un sac», à la vue de laquelle Sophie ne pouvait s'empêcher de rire. Ces notes du petit chien, comme toute la prose de Gogol, sont pleines de références à de nombreux personnages aléatoires, comme un certain Bobov, qui ressemble à une cigogne à son volant, ou Lidina, qui est sûre qu'elle a les yeux bleus, alors qu'elle a les yeux verts, ou Les chiens de Trezor d'une cour voisine, écrivant gentiment ces lettres à Medji. Enfin, Poprishchin apprend d'eux que le cas de Sophie avec le caméraman Teplov va clairement au mariage.
L'amour malheureux, couplé à des articles de journaux troublants, endommage définitivement l'esprit du poprisme. Il s'inquiète de la tentative d'abolir le trône espagnol à l'occasion de la mort du roi. Mais comment est-il, Poprishchin, un héritier secret, c'est-à-dire une personne noble, un de ceux que les autres aiment et vénèrent? Le chauffeur de la lande, qui sert la Poprischina, est le premier à connaître cette formidable nouvelle. Après plus de trois semaines, le «roi d'Espagne» distrait Poprishchin entre à son service, ne se tient pas devant le réalisateur, signe Ferdinand VIII sur papier, puis se faufile dans l'appartement du réalisateur, tente de parler avec Sophie, faisant la découverte que les femmes tomber amoureux d'un enfer. L'attente tendue de Poprishchin à l'égard des députés espagnols est enfin résolue par leur arrivée. Mais l '"Espagne" dans laquelle il est emmené est une terre très étrange. Il y a beaucoup de grands avec des têtes rasées, ils sont battus avec des bâtons, de l'eau froide coule sur la couronne. Évidemment, la grande Inquisition règne ici, ce qui empêche la région du poprisme de faire de grandes découvertes dignes de son poste. Il écrit une lettre en larmes à la mère avec un appel à l'aide, mais la bosse sous le nez même du Bey algérien distrait à nouveau sa mauvaise attention.